Non !<o:p></o:p>

Ils s’en vont<o:p></o:p>

Loin de ce pont…<o:p></o:p>

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On s’était rencontré sur ce ponton,

 

 

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Là bas, à côté de la rivière Ronron.

 

 

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Nous chantions, nous dansions…

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Cette rivière n’avait pas eu depuis longtemps d’animation !!

 

 

 

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Et pour une fois qu’elle en avait, elle s’émerveillait avec contemplation.

 

 

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Elle invita même le monde marin à venir se trémousser auprès d’elle avec modération.

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Voyant une telle agitation,

 

 

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Les gens nous regardaient du haut de leur balcon…

 

 

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Enthousiasmés par la douceur de vivre, et par une certaine satisfaction,

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Ils finirent par demander une chanson !<o:p></o:p>

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Mais il n’y aura plus de danses et de chansons,

 

 

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Ils ne sont plus sur ce ponton,

 

 

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Dans ce village à côté de Lyon…

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Alors tous, garderaient cette impression,<o:p></o:p>

Ce son,<o:p></o:p>

Crée par quelques individus à la recherche de sensations.<o:p></o:p>

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Ne savant pas quand ces personnes, sans nom,

 

 

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Reviendraient dans ce village au abord de Lyon,

 

 

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En mémoire, ils garderaient ce souvenir girond

 

 

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         Et se réconforterait de cette consolation !

Accepter,

C’est faire preuve de lucidité,

C’est chercher des solutions,

De trouver des moyens pour s’enrichir,

Pour transformer des échecs en réussites.

 

Accepter,

C’est de cesser de se demander pourquoi moi,

Le destin est comme cela,

Il sème des maux

Mais c’est à nous de tout accomplir

Pour vivre pleinement nos choix, notre réalité,

De tenter de faire tout pour donner un sens à notre vie.

       

Accepter,

C’est de pouvoir se rendre compte

Que l’avis des gens n’est pas totalement erroné,

Même si on peut parfois être désarçonné

Par les paroles qu’on peut recevoir.

Un jour, un roi rencontre une jeune demoiselle<o:p></o:p>

L’épouse quelques temps après.<o:p></o:p>

Avec elle, il construit un château,  <o:p></o:p>

Et au fur et à mesure que celui-ci avance<o:p></o:p>

Des villageois s'invitent avec plaisir dans ce lieu<o:p></o:p>

Où la bonne humeur et joie sont présentes.<o:p></o:p>

Mais, un jour, le roi décide brusquement<o:p></o:p>

De tout arrêter. <o:p></o:p>

La reine désemparée, étonnée, ne sait pas quoi dire,

Elle comprend certaines revendications de son mari, 

 

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Cependant désillusionnée à contrecoeur, elle accepte son départ.

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Elle demande toutefois aux villageois de l'aide,

Et c'est avec plaisir qu'ils viennent à son secours.

 

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Pourquoi ce délaissement ?

 

Sans lui, la reine n'est plus personne.

 

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Elle se résonne et lui dit si les choses qui devaient se construire sont toujours d'actualité?

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Les dispositions prises et érigées auparavant vont-elles aux oubliettes ?<o:p></o:p>

Et contre toute attente, un espoir arrive,

Le roi est de retour!!!

La solitude a plusieurs chemins…

 

Sur le chemin, le moins connu,

la solitude appartient à un recueil :

celui de ce qu’on peut ressentir,

d’avoir le pouvoir de se remettre en question…

 

Cette ombre de nous-mêmes

est le fruit d’une liberté intérieure.

Car lorsqu’on est seule,

on peut se dévoiler,

se montrer nous-mêmes,

se recueillir…

 

Dans cette solitude,

on éprouve un sentiment de bien être,

un certain équilibre

et surtout une harmonie avec soi-même.

 

Sur l’autre chemin,

la solitude n'est pas une émotion,

elle constitue un état de fait.

c’est un isolement..

L'impression d'être seul

est une manière voilée

de parler de sa tristesse.

Cet abandon alors est une souffrance muette.

On ne peut ni se plaindre, ni en parler.

 

Notre grand tourment

dans l'existence vient

de ce que nous sommes éternellement seuls,

 et tous nos efforts,

tous nos actes

ne tendent qu'à fuir cette solitude.

La vie est un mot éphémère

Mais ce temps d’existence

est un plaisir incroyable.

 

C’est un don donné par Mère Nature,

Auquel la vie constitue un miroir des sens…

délecte-la dans la splendeur,

elle te donnera sa saveur.

 

La vie est un sentiment d’existence

Lorsqu’une joie intérieure profonde

S’exprime dans le temps présent…

La vie est donné par son animation,

sa vivacité,

son réalisme,

l'impression d'être réel…

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